L’incorporation de l’ensemble des données cliniques sur une “vue patient” incluant les cycles de chimiothérapie reçus, les délais, les tests d’imagerie, les interventions des infirmières pivots et des pharmaciens, permet rapidement d’avoir une bonne idée du parcours du patient. Chaque changement au traitement du patient est représenté par une iconographie spécifique, cela accélère grandement la prise de connaissance du dossier d’un patient.

La note médicale structurée spécialement conçue pour l’oncologie permet de produire des rapports pertinents pour les décideurs.

L’organisation de l’information nécessaire à la prescription d’un protocole de chimiothérapie et le calculateur de dose inclus dans le prescripteur électronique limitent les erreurs liées à la prescription de chimiothérapie. Par exemple, les erreurs de retranscription sont éliminées par un interfaçage en temps réel avec le dossier clinique informatisé.

Dès la prescription initiale, le protocole est personnalisé au besoin du patient selon l’expertise des cliniciens. Lors de la deuxième prescription, il est possible de partir de la prescription antérieure. Ce qui permet de réutiliser, d’un cycle à l’autre, tous les ajustements de médications pour un patient donné. Nous évitons ainsi des oublis.

Un outil de vérification alimenté par des règles de validations liées aux variables démographiques et aux résultats de laboratoire du patient aide à attraper les cas où les doses ont été mal ajustées par l’équipe ou qu’un test de laboratoire n’avait pas été effectué au préalable.

Un outil de rapports personnalisés vous permet d’obtenir toutes les statistiques nécessaires pour prendre des décisions éclairées. Les nouveaux médicaments en oncologie sont dispendieux. Les rapports produit par ONCO vous permettrons de mieux identifier les populations pour lesquelles un nouveau traitement pourrait faire la différence. Les rapports vous procureront une assise quantifiable pour améliorer vos processus ainsi que pour optimiser vos traitements.

De plus, le lien entre qui a reçu quoi, pourquoi et pendant combien de temps est préservé dans une banque de données cliniques permettant en un coup d’œil de bien cerner la population traitée.